SOBICAIN

Centro Bíblico San Pablo

SOBICAIN / Centro Bíblico San Pablo

La Bible des Peuples

Jésus envoie les soixante-douze disciples

1 Après cela, le Seigneur en choisit soixante-douze autres. Il les envoya deux par deux en avant de lui vers toutes les villes et tous les endroits où lui-même pensait aller. 2 Il leur disait : “La moisson est abondante et les ouvriers sont peu nombreux ! Priez donc le Seigneur de la moisson pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson !

3 Allez ! Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. 4 Vous n’emporterez ni bourse, ni sac, ni chaussures, et sur le chemin vous n’irez pas saluer qui que ce soit. 5 Lorsque vous entrerez dans une maison vous commencerez par dire : Paix à cette maison ! 6 Si la paix trouve là un de ses fils, elle reposera sur lui, sinon elle reviendra sur vous.

7 Le temps que vous restez dans cette maison, acceptez ce qu’ils ont à boire et à manger, car l’ouvrier mérite son salaire. Mais ne passez pas de maison en maison.

8 Dans les villes où vous entrez et où l’on vous reçoit, mangez ce qu’on vous sert. 9 Guérissez leurs malades et dites-leur : “Le Royaume de Dieu est maintenant tout proche de vous !”

10 Mais si vous êtes entrés dans une ville où l’on ne vous reçoit pas, vous irez dire sur les places : 11 ‘Même la poussière de votre ville qui s’est collée à nos pieds, nous vous la laissons ! Vous saurez quand même que le Royaume de Dieu est tout proche !’ 12 Je vous le dis : au jour du jugement Sodome s’en tirera à meilleur compte que cette ville-là !

13 Malheur à toi, Korazïn ! Malheur à toi Bethsaïde ! Car si l’on avait eu dans Tyr et dans Sidon les miracles qui ont eu lieu chez vous, depuis longtemps elles auraient fait pénitence avec le sac, assises sur la cendre. 14 Tyr et Sidon s’en tireront sûrement à meilleur compte que vous au jour du jugement ! 15 Et toi, Capharnaüm, vas-tu t’élever jusqu’au ciel ? Non, tu descendras jusque chez les morts !

16 Celui qui vous écoute, c’est moi qu’il écoute ; celui qui vous rejette, c’est moi qu’il rejette, et celui qui me rejette, rejette celui qui m’a envoyé !”

Jésus rend grâces au Père

17 Les “soixante-douze” revinrent tout joyeux : “Seigneur, disaient-ils, on prononçait ton nom, et même les démons nous étaient soumis !” 18 Jésus leur dit : “Je voyais Satan descendre du ciel en flèche, comme un éclair ! 19 Voyez, je vous ai donné autorité pour piétiner serpents et scorpions, et toute la puissance de l’ennemi : aucune arme ne vous atteindra.

20 Mais s’il faut vous réjouir, ce n’est pas parce que les esprits vous sont soumis ; réjouissez-vous de ce que vos noms sont inscrits dans les cieux.”

21 A cette heure même Jésus fut pris tout entier par la joie de l’Esprit Saint. Il éleva la voix et dit : “Je proclamerai tes grandeurs, Père, Seigneur du ciel et de la terre, car tu as caché ces choses aux sages comme aux intelligents et tu les as révélées à des tout-petits. Oui Père, c’est cela qui t’a paru bon !

22 Tout m’a été remis par mon Père et personne ne sait qui est le Fils, si ce n’est le Père ; ni le Père, si ce n’est le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler.”

23 Jésus se tourna vers les disciples, à un moment où ils étaient seuls, et il leur dit : “Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez. 24 Oui, je vous le dis : beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous voyez et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu !”

Le bon Samaritain

25 Un maître de la Loi se leva et lui dit pour l’embarrasser : “Maître, que dois-je faire pour recevoir la vie éter nelle ?” 26 Jésus lui dit : “Que dit l’Ecriture, que vois-tu dans la Loi ?”

27 L’homme répondit : “ Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même.” 28 Jésus lui dit : “Ta réponse est exacte. Fais cela et tu vivras.”

29 Mais lui voulut s’expliquer, il dit à Jésus : “Et qui est mon prochain ?”

30 Jésus alors se mit à raconter : “Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu de bandits qui lui enlevèrent jusqu’à ses vêtements. Ils s’enfuirent le laissant couvert de plaies et à demi mort.

31 Un prêtre par hasard descendait ce même chemin ; il vit l’homme et passa de l’autre côté. 32 Un Lévite venait par la même route ; arrivé à cet endroit, lui aussi vit l’homme ; il changea de côté et passa.

33 Mais voici qu’un Samaritain fait le même trajet, et quand il se trouve face au blessé, il a vraiment pitié de lui. 34 Il s’approche et bande ses blessures en y mettant de l’huile et du vin. Puis il l’installe sur sa propre bête et le conduit jusqu’à une auberge où il prend soin de lui. 35 Le lendemain il sort deux pièces d’argent et les donne à l’hôtelier en lui disant : Fais pour lui le nécessaire ; si tu dépenses davantage, je te le rembourserai au retour.”

36 Jésus alors demanda : “A ton avis, lequel des trois s’est fait le prochain de l’homme qui a été victime des bandits ?” 37 L’autre répondit : “Celui qui a eu pitié de lui.” Et Jésus lui dit : “Va, et fais pareil.”

Marthe et Marie

38 En cours de route, Jésus entra dans un village et une femme nommée Marthe le reçut chez elle.

39 Elle avait une sœur, du nom de Marie, qui s’était assise aux pieds du Seigneur et restait à écouter sa parole. 40 Marthe, pendant ce temps, était absorbée par tout le service. A la fin elle se tourne vers Jésus et lui dit : “Seigneur, ne vois-tu pas que ma sœur me laisse seule avec le ser vice ? Dis-lui donc de m’aider !”

41 Mais le Seigneur lui répond : “Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour tant de choses ! 42 Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas retirée.”

  • Evangile selon Saint Matthieu 9,35
  • Evangile selon Saint Marc 6,6
  • Evangile selon Saint Marc 6,34
  • Evangile selon Saint Matthieu 9,37
  • Evangile selon Saint Matthieu 11,21
  • Evangile selon Saint Marc 3,14
  • Evangile selon Saint Luc 9,1
  • Evangile selon Saint Jean 4,38
  • Evangile selon Saint Matthieu 10,5
  • Evangile selon Saint Marc 6,8
  • Evangile selon Saint Luc 9,2
  • Evangile selon Saint Luc 9,3
  • Evangile selon Saint Luc 22,35
  • Deuxieme livre des Rois 2,49
  • Evangile selon Saint Luc 2,14
  • Premier Lettre aux Corinthiens 9,14
  • Deuxieme Lettre aux Corinthiens 11,7
  • Premier Lettre à Timothée 5,18
  • Actes des Apôtres 28,8
  • Evangile selon Saint Matthieu 11,21
  • Evangile selon Saint Matthieu 16,31
  • Isaïe 14,13
  • Evangile selon Saint Matthieu 10,40
  • Evangile selon Saint Marc 9,37
  • Evangile selon Saint Matthieu 18,5
  • Evangile selon Saint Luc 9,48
  • Evangile selon Saint Jean 13,20
  • Evangile selon Saint Marc 16,17
  • Evangile selon Saint Luc 9,10
  • Les Psaumes 91,13
  • Daniel 12,1
  • L´Apocalypse 3,5
  • L´Apocalypse 13,8
  • Evangile selon Saint Matthieu 11,25
  • Evangile selon Saint Luc 8,10
  • Evangile selon Saint Jean 7,48
  • Premier Lettre aux Corinthiens 1,17
  • Premier Lettre aux Corinthiens 1,26
  • Evangile selon Saint Matthieu 28,18
  • Evangile selon Saint Jean 3,35
  • Evangile selon Saint Jean 13,3
  • Evangile selon Saint Jean 17,2
  • Lettre aux Philippiens 2,9
  • Evangile selon Saint Matthieu 13,16
  • Evangile selon Saint Luc 11,31
  • Premier Lettre de Pierre 1,12
  • Evangile selon Saint Marc 22,34
  • Evangile selon Saint Marc 12,28
  • Le Deutéronome 6,5
  • Le Lévitique 19,18
  • Evangile selon Saint Matthieu 5,43
  • Isaïe 1,6
  • Evangile selon Saint Jean 11,1
  • Evangile selon Saint Jean 12,1
  • Premier Lettre aux Corinthiens 7,35
  • Evangile selon Saint Matthieu 6,33
  • Evangile selon Saint Jean 6,27
  • Evangile selon Saint Jean 12,31
  • Actes des Apôtres 6,2
Lc 10,1

Voir commentaire de Mt 10,5 et Mc 6,7.

Luc rapporte une mission des Soixante-dix (ou soixante-douze), après celle des Douze (9,1). Il y avait douze apôtres selon le nombre des tribus d’Israël. La mission des Soixante-dix (ce chiffre aussi avait une valeur symbolique et se rapportait aux na tions païennes comme aux soixante-dix anciens associés à la mission de Moïse : Nb 11,16-17) préfigure la tâche qui sera celle de l’Église jusqu’à la fin du monde : évangéliser toutes les nations (Mt 28,19).

Jésus forme ses disciples en leur donnant une tâche : pas de disciple qui n’ait fait l’expérience de la mission. Il est probable qu’il envoie les soixante-dix peu de temps après les avoir appelés, et aujourd’hui encore, les missionnaires les plus enthousiastes sont souvent les nouveaux convertis.

4. Vous n’irez pas saluer qui que ce soit : Ne perdez pas votre temps à bavarder avec des amis, ne demandez pas l’hospitalité à ceux qui n’ont pas accueilli le Royaume. Comptez plutôt sur la Providence du Père qui vous ouvrira le cœur et la maison de ceux que vous ne connaissiez pas.

On aura remarqué le devoir d’imprévoyance que Jésus impose à ces missionnaires : ni provisions ni assurances. S’ils n’ont pas fait cette expérience, comment parleront-ils de la confiance totale dans le Père des Cieux ?

Il les envoya deux par deux... De cette façon il y aura la force d’un témoignage collectif. La mission est l’affaire d’une communauté qui veut transmettre son expérience.

5 Paix à cette maison. Les missionnaires ne viennent pas pour discuter, ils savent écouter, connaître et aimer ceux qu’ils visitent, il faut qu’avec eux le Royaume se soit fait proche.

Beaucoup ont accueilli avec joie ceux qui leur annonçaient la Parole de Dieu mais ne s’intégreront pas à une communauté chrétienne. Cela ne veut pas dire pour autant que les efforts des missionnaires aient été inutiles. Ces mêmes personnes garderont peut-être le souvenir de ce moment de grâce, et elles vivront avec plus de foi leur vie quotidienne. De toutes façons, le Seigneur en aura touché quelques-uns qui seront des éléments nouveaux dans son Église.

Lc 10,8

Jésus n’était pas venu pour guérir tous les malades, mais pour apporter le salut. Parce que nous sommes pécheurs, notre salut s’accomplit par la souffrance et par la croix. Les envoyés de Jésus ne proclament pas la foi comme le moyen de guérir : ce serait la diminuer. Ils offrent cependant la guérison à ceux qui n’ont pas encore découvert que le royaume de Dieu et sa miséricorde sont proches. Jésus ne veut pas que nous quémandions des signes, mais il en offre constamment.

La communauté chrétienne visitera les malades : elle manifestera ainsi qu’elle est la famille de tous. Dans l’exercice de ce ministère auprès des mala des, le chrétien découvre chaque jour un peu plus que Dieu le précède. Ce n’est pas lui qui encourage et soutient le malade, mais c’est Dieu lui-même qui parle et aime à travers son témoin. L’amour montré par les visiteurs met le malade sur la voie de la conversion et de l’accueil de la miséricorde de Dieu.

Un jour ou l’autre, cependant, ceux qui visitent le malade comprendront qu’ils doivent prier ensemble pour demander la guérison, et Dieu la donnera : voir à ce sujet Jc 5,13.

9. La proclamation du royaume de Dieu s’accompagne de signes donnés par Dieu. Il ne peut pas y avoir de mission sans la prière communautaire pour demander de telles guérisons. Voir aussi Jc 5,10.13.16.

Lc 10,17

17. Voir le commentaire de Mt 11,25.

Quelles sont ces choses que le Père a révélées aux petits, sinon la capacité mystérieuse de l’Évangile pour transformer les hommes et leur apporter la lumière ?

On remarquera la forme très hébraïque de la réponse de Jésus avec la reprise des mots qu’on lui offre. Les disciples disent : Ton nom, et Jésus répond : Vos noms. Les disciples se réjouissent et Jésus dit : “ne vous réjouissez pas”. Satan tombe du ciel, et ce sont les noms des disciples qui sont écrits dans le ciel. Les disciples parlent des démons qui leur sont soumis et Jésus dit : les esprits ; et pour lui l’adversaire, ce ne sont pas ces esprits, mais Satan.

Les sages et les intelligents ne savent sans doute pas l’essentiel, ils ne peuvent pas dire où va le monde tant qu’ils ne voient pas le pouvoir de Dieu à l’œuvre là où Jésus est proclamé.

Les petits, par contre, ont découvert l’essentiel. Peu de temps auparavant ils se voyaient comme une génération sacrifiée. De génération en génération, ils se sacrifient pour leurs enfants ou sont sacrifiés par le pouvoir qui leur promet de rendre heureux leurs descendants. Maintenant ils possèdent tout s’ils possèdent Jésus, car tout lui a été donné par le Père.

Les petits vivent leur foi dans de petites choses, mais ils savent qu’aucun de leurs actes d’amour n’est perdu. Jésus nous révèle le Père, et quand nous le connaissons vraiment, nous partageons son pouvoir sur les événements. Nos désirs et nos prières sont puissants parce que nous sommes arrivés au centre d’où Dieu dirige les forces qui sauvent l’humanité : nos noms sont inscrits dans le ciel en ce sens que déjà nous travaillons pour l’éternité et nous y sommes entrés.

Évangéliser, c’est montrer le pouvoir de libération de l’Évangile. Tout activisme est ici inutile, il nous faut admettre que de nous-mêmes nous ne pouvons rien dans ce domaine ; nous devons plutôt rendre grâce à Dieu qui nous rend capables de voir, d’entendre, et de transmettre son salut.

23. Cessez d’envier les gens célèbres, les rois et les prophètes du passé ! Vous qui n’êtes ni rois, ni prophètes, vous avez reçu aujourd’hui la meilleure part.

Lc 10,25

Ici encore nous avons un de ces tableaux où Luc joint deux faits différents ou encore, un fait et une parabole. Car l‘Évangile n’est pas seulement une collection de faits ou de paroles, il faut établir un ordre, montrer les grandes lignes du message, faire ressortir la figure du Fils de Dieu fait homme, et c’est là la mission confiée par Dieu aux évangélistes.

Luc rapporte ici la réponse de Jésus à celui qui l’interrogeait sur le premier commandement (Mc 12,28), et il y joint une parabole sur le second commandement : l’histoire du bon samaritain.

À première vue on remarque les points suivants :

– le Samaritain a pris de gros risques (30 et 35) ;

– il a dépassé l’hostilité entre Juifs et Samaritains

– il n’a pas réfléchi à ses obligations, il a laissé parler son cœur.

Cet homme est monté plus haut que certains croyants avec leur Dieu qui toujours menace ou cherche à se faire respecter. Il a laissé Dieu aimer à travers lui au lieu de lui faire cadeau de ses bonnes œuvres.

29. Les Maîtres discutaient pour savoir si le prochain qu’on doit aimer (Lv 19,18) était seulement un membre de la famille, un membre de l’entourage, un compatriote… Certains pensaient que le prochain pourrait être un non Juif qui a commencé de se convertir, mais jamais on n’avait vu plus loin que les frontières du peuple élu, et sûrement pas un Samaritain : voir dans la Bible elle-même en Si 50,26.

Jésus fait bien plus qu’ouvrir la notion du prochain, il échappe à la grande préoccupation d’alors : ce que la loi permet et ce à quoi elle oblige. Il fait de l’amour du prochain un amour vrai, qui naît d’un appel intérieur plus fort que le danger, un amour qui fait que si l’on a vu les risques on ne s’y arrête pas.

36. Beaucoup de ceux qui lisent cette parabole passent par-dessus ce verset sans voir que Jésus a retourné la question posée et l’a laissée sans réponse. On lui demandait : quel est le prochain que je “dois” aider ; et Jésus répond : sois capable, toi, de “te faire” le prochain de celui que tu rencontres.

Lc 10,38

Jésus a été reçu avec son groupe dans une famille où l’on a de quoi les recevoir et où ce ne doit pas être la première fois ; apparemment, pas de maître de maison. Ce ne peut être qu’à Béthanie, chez Marthe, comme en Jn 11,1 et 12,1.

39. Marie fait partie du groupe (voir en Lc 8,2) et la coutume demandait qu’elle aille faire le service ménager avec les femmes. Mais elle est restée avec les hommes, assise aux pieds de Jésus : c’est l’attitude traditionnelle du disciple, aux pieds de son maître.

Marie se sentait bien là, et elle savait que sa présence n’était pas pour déplaire à Jésus. Elle a su profiter de ces courts instants où Jésus pouvait être à elle, et elle est là pour lui, restant à l’écouter. L’Évangile notera ses intuitions et le traitement privilégié qui lui est réservé durant les derniers jours de Jésus sur terre.

Beaucoup de choses semblent nécessaires dans la vie de famille : nettoyer, préparer les repas, s’occuper des enfants. Mais si, avec tout cela, on n’a plus le temps d’écouter les autres, que vaut cette vie ? Nous faisons peut-être bien des choses nécessaires au service de Dieu et du prochain ; une seule chose néanmoins est nécessaire pour tous : être disponible pour Jésus quand il est présent.

Même la prière peut être une façon de s’agiter comme Marthe : on est tout à la récitation de ses prières, on multiplie les paroles pour présenter cent fois les mêmes inquiétudes au Seigneur, le responsable de la célébration s’énerve et s’inquiète de la perfection des hymnes ou du déroulement de la cérémonie...

Prier, c’est prendre le temps d’écouter, de méditer en silence la Parole de Dieu, c’est faire taire nos désirs pour ne prêter attention qu’à Dieu, secrètement présent, et pour nous couler dans sa volonté à lui.

42. La meilleure part : L’écoute de la Parole de Dieu ? Avoir suivi Jésus sans crainte des commentaires ? Être de ceux qui oublient les choses “nécessaires” de la vie quand se présente un moment à ne pas perdre ?

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