SOBICAIN

Centro Bíblico San Pablo

SOBICAIN / Centro Bíblico San Pablo

La Bible des Peuples

1 Voici ce que dit Yahvé à Cyrus, à celui qu’il a consacré :

“Je t’ai pris par la main droite,

pour faire plier devant toi les nations,

pour défaire la ceinture des rois,

pour ouvrir devant toi les portes,

et que les portails ne se referment plus.

2 Je marcherai devant toi,

j’aplanirai les chemins difficiles ;

je briserai les portes de bronze

et mettrai en pièces les verrous de fer.

3 Je te donnerai les trésors cachés,

les richesses qu’on avait mises en sûreté,

et tu sauras que je suis Yahvé,

le Dieu d’Israël qui t’a appelé par ton nom.

4 A cause de Jacob mon serviteur,

à cause d’Israël que j’ai choisi,

je t’ai appelé par ton nom ;

je t’ai donné un rôle alors que tu ne me connaissais pas.

5 Il n’y a rien sinon moi, Yahvé,

il n’y a pas de Dieu en dehors de moi.

Je t’ai lancé alors que tu ne me connaissais pas,

6 pour que l’on sache depuis l’orient jusqu’au couchant,

qu’il n’y a rien en dehors de moi.

Il n’y a pas d’autre que moi, Yahvé,

7 celui qui forme la lumière et qui fait les ténèbres,

qui mène au succès et qui fait le malheur,

tout cela je le fais, moi, Yahvé.

8 Cieux, faites tomber de là-haut la rosée,

1 et que les nuées donnent une pluie de justice.

1 Que s’ouvre la terre, et que fleurisse le salut,

1 tandis que la justice germera :

1 c’est mon oeuvre à moi, Yahvé.

9 Malheur à qui discute avec celui qui l’a formé, quand il n’est qu’un vase entre vases de terre. L’argile dira-t-elle à celui qui la travaille : “Que fais-tu là ?” Elle n’a même pas de mains ! 10 Malheur à celui qui dit à un père : “Qu’as-tu engendré !” ou à une femme : “Qu’as-tu mis au monde !” 11 Voici ce que dit Yahvé, le Saint d’Israël, celui qui l’a formé : Est-ce à vous de me questionner sur mes fils ou de me dire ce que je dois faire ?

12 C’est moi qui ai fait la terre, et j’ai créé l’homme pour l’habiter ; de mes mains j’ai étendu les cieux et je commande à toute leur armée.

13 C’est moi de même qui ai lancé Cyrus et ses victoires,

et qui lui aplanis tous ses chemins,

car il reconstruira ma ville et fera revenir mes déportés, sans demander cadeau ni récompense, - parole de Yahvé Sabaot.

Au milieu de toi se trouve un Dieu caché

14 Voici ce que dit Yahvé :

Le salaire de l’Egypte, avec les produits de Kouch, et les hommes de Séba, tous de grands gaillards, viendront vers toi et seront à toi. Ils marcheront derrière toi et passeront chargés de chaînes, ils se prosterneront devant toi et prieront tournés vers toi :

“Dieu n’est que chez toi, il n’y en a pas d’autre ailleurs. 15 Tu es Dieu qui aime se cacher, Dieu Sauveur d’Israël !”

16 Ils seront tous honteux et confus, ils s’en iront couverts de honte, les faiseurs d’idoles, 17 mais Israël sera sauvé par Yahvé, pour toujours. Plus jamais dans les siècles à venir vous ne connaîtrez la honte ni l’humiliation.

18 Car ainsi parle Yahvé, qui a fait les cieux - car il est Dieu, -

qui a formé et façonné la terre,

- car c’est lui qui l’a mise en place :

“Je n’y ai pas mis la confusion, j’ai voulu qu’on y vive,

- car je suis Yahvé, et il n’y a pas d’autre ;

19 et de même je n’ai pas parlé en secret,

dans quelque endroit caché ;

et je n’ai pas dit à la race de Jacob :

cherchez-moi, mais tout sera confusion,

- car moi, Yahvé, je dis vrai et je parle en clair.

Devant moi, tout genou fléchira

20 Rassemblez-vous et venez, et tâchez de comprendre, vous qui survivez parmi les nations :

Ceux qui vont avec leur idole de bois ne savent rien :

ils prient un dieu incapable de sauver.

21 Sinon, parlez, donnez vos preuves,

et s’il le faut, consultez-vous.

Qui avait fait savoir ces choses d’avance ?

Qui les avait déjà annoncées ?

Ne voyez-vous pas que je suis Yahvé

et qu’il n’y a pas d’autre Dieu que moi :

il n’est pas de Dieu juste et sauveur sinon moi.

22 Tournez-vous vers moi pour être sauvés,

vous tous des quatre coins du monde :

Dieu, je le suis, il n’y en a pas d’autre.

23 Je le jure par moi-même,

et de ma bouche sort la vérité,

la parole dite ne reviendra pas en arrière :

Tout genou fléchira devant moi et toute langue proclamera :

24 “Justice et force ne se trouvent qu’en Yahvé.”

Alors viendront vers lui bien humiliés tous ceux qui se dressaient contre lui, 25 mais pour toute la race d’Israël, ce sera avec Yahvé le triomphe et la gloire.

  • Isaïe 42,6
  • Isaïe 55,10
  • Osée 2,23
  • Les Psaumes 85,12
  • Isaïe 42,6
  • Isaïe 42,6
  • Isaïe 42,6
  • Isaïe 42,6
  • Isaïe 29,16
  • Jérémie 18,6
  • Lettre aux Romains 9,20
  • Isaïe 64,7
  • Isaïe 45,15
  • Evangile selon Saint Jean 18,20
  • Actes des Apôtres 26,26
  • Genêse 22,16
  • Lettre aux Romains 14,11
  • Lettre aux Philippiens 2,10
Is 45,1

Nous trouvons ici une magnifique expression de l’oeuvre de Dieu, le Sauveur. Comme nous l’avons dit à propos d’Isaïe 11,1, il n’est pas question d’opposer le salut venant de Dieu à celui que les hommes peuvent réaliser : l’oeuvre de Dieu et la coopération des hommes s’unissent en cette entreprise unique qui nous conduira à la fin de nos peines.

La justice signifie la rectitude totale de l’homme. En un mot : vivre selon la vérité et l’amour. Une telle justice vient de Dieu, seul capable de créer un homme nouveau. Elle viendra, en fait, en la personne du Christ, le Juste, (Jn 16,10), né parmi nous comme le premier rameau d’une humanité renouvelée. Le Christ n’a pas fait irruption dans le monde, “descendant” du ciel dans sa gloire, mais il est venu comme la fleur de notre terre, étant Juif, né de Juifs, vrai homme né d’une mère vierge (Gal 4,4). Le Christ n’accomplit pas seul l’oeuvre de notre salut car elle doit se réaliser au cours de l’histoire : Justice et Salut sont les fruits de l’humanité rendue féconde par la miséricorde divine.

Ici, salut veut dire la libération complète de l’homme.

Ce texte a pour complément le psaume 85 qui emploie une autre image : deux mains qui se rejoignent, l’une venant du ciel et l’autre s’élevant de la terre, pour accomplir l’alliance définitive de Dieu et des hommes dans l’amour et la fidélité (voir Jn 1,17).

Is 45,8

Les mêmes thèmes continuent sous différentes expressions.

45,9-l3 : Le Seigneur, libre créateur de tout, dirige aussi l’histoire. Remarquons que dans Jérémie 18,1 la comparaison du potier et de son argile est développée dans un sens tout à fait différent.

Is 45,1

Nous trouvons ici une magnifique expression de l’oeuvre de Dieu, le Sauveur. Comme nous l’avons dit à propos d’Isaïe 11,1, il n’est pas question d’opposer le salut venant de Dieu à celui que les hommes peuvent réaliser : l’oeuvre de Dieu et la coopération des hommes s’unissent en cette entreprise unique qui nous conduira à la fin de nos peines.

La justice signifie la rectitude totale de l’homme. En un mot : vivre selon la vérité et l’amour. Une telle justice vient de Dieu, seul capable de créer un homme nouveau. Elle viendra, en fait, en la personne du Christ, le Juste, (Jn 16,10), né parmi nous comme le premier rameau d’une humanité renouvelée. Le Christ n’a pas fait irruption dans le monde, “descendant” du ciel dans sa gloire, mais il est venu comme la fleur de notre terre, étant Juif, né de Juifs, vrai homme né d’une mère vierge (Gal 4,4). Le Christ n’accomplit pas seul l’oeuvre de notre salut car elle doit se réaliser au cours de l’histoire : Justice et Salut sont les fruits de l’humanité rendue féconde par la miséricorde divine.

Ici, salut veut dire la libération complète de l’homme.

Ce texte a pour complément le psaume 85 qui emploie une autre image : deux mains qui se rejoignent, l’une venant du ciel et l’autre s’élevant de la terre, pour accomplir l’alliance définitive de Dieu et des hommes dans l’amour et la fidélité (voir Jn 1,17).

Is 45,1

Nous trouvons ici une magnifique expression de l’oeuvre de Dieu, le Sauveur. Comme nous l’avons dit à propos d’Isaïe 11,1, il n’est pas question d’opposer le salut venant de Dieu à celui que les hommes peuvent réaliser : l’oeuvre de Dieu et la coopération des hommes s’unissent en cette entreprise unique qui nous conduira à la fin de nos peines.

La justice signifie la rectitude totale de l’homme. En un mot : vivre selon la vérité et l’amour. Une telle justice vient de Dieu, seul capable de créer un homme nouveau. Elle viendra, en fait, en la personne du Christ, le Juste, (Jn 16,10), né parmi nous comme le premier rameau d’une humanité renouvelée. Le Christ n’a pas fait irruption dans le monde, “descendant” du ciel dans sa gloire, mais il est venu comme la fleur de notre terre, étant Juif, né de Juifs, vrai homme né d’une mère vierge (Gal 4,4). Le Christ n’accomplit pas seul l’oeuvre de notre salut car elle doit se réaliser au cours de l’histoire : Justice et Salut sont les fruits de l’humanité rendue féconde par la miséricorde divine.

Ici, salut veut dire la libération complète de l’homme.

Ce texte a pour complément le psaume 85 qui emploie une autre image : deux mains qui se rejoignent, l’une venant du ciel et l’autre s’élevant de la terre, pour accomplir l’alliance définitive de Dieu et des hommes dans l’amour et la fidélité (voir Jn 1,17).

Is 45,1

Nous trouvons ici une magnifique expression de l’oeuvre de Dieu, le Sauveur. Comme nous l’avons dit à propos d’Isaïe 11,1, il n’est pas question d’opposer le salut venant de Dieu à celui que les hommes peuvent réaliser : l’oeuvre de Dieu et la coopération des hommes s’unissent en cette entreprise unique qui nous conduira à la fin de nos peines.

La justice signifie la rectitude totale de l’homme. En un mot : vivre selon la vérité et l’amour. Une telle justice vient de Dieu, seul capable de créer un homme nouveau. Elle viendra, en fait, en la personne du Christ, le Juste, (Jn 16,10), né parmi nous comme le premier rameau d’une humanité renouvelée. Le Christ n’a pas fait irruption dans le monde, “descendant” du ciel dans sa gloire, mais il est venu comme la fleur de notre terre, étant Juif, né de Juifs, vrai homme né d’une mère vierge (Gal 4,4). Le Christ n’accomplit pas seul l’oeuvre de notre salut car elle doit se réaliser au cours de l’histoire : Justice et Salut sont les fruits de l’humanité rendue féconde par la miséricorde divine.

Ici, salut veut dire la libération complète de l’homme.

Ce texte a pour complément le psaume 85 qui emploie une autre image : deux mains qui se rejoignent, l’une venant du ciel et l’autre s’élevant de la terre, pour accomplir l’alliance définitive de Dieu et des hommes dans l’amour et la fidélité (voir Jn 1,17).

Is 45,1

Nous trouvons ici une magnifique expression de l’oeuvre de Dieu, le Sauveur. Comme nous l’avons dit à propos d’Isaïe 11,1, il n’est pas question d’opposer le salut venant de Dieu à celui que les hommes peuvent réaliser : l’oeuvre de Dieu et la coopération des hommes s’unissent en cette entreprise unique qui nous conduira à la fin de nos peines.

La justice signifie la rectitude totale de l’homme. En un mot : vivre selon la vérité et l’amour. Une telle justice vient de Dieu, seul capable de créer un homme nouveau. Elle viendra, en fait, en la personne du Christ, le Juste, (Jn 16,10), né parmi nous comme le premier rameau d’une humanité renouvelée. Le Christ n’a pas fait irruption dans le monde, “descendant” du ciel dans sa gloire, mais il est venu comme la fleur de notre terre, étant Juif, né de Juifs, vrai homme né d’une mère vierge (Gal 4,4). Le Christ n’accomplit pas seul l’oeuvre de notre salut car elle doit se réaliser au cours de l’histoire : Justice et Salut sont les fruits de l’humanité rendue féconde par la miséricorde divine.

Ici, salut veut dire la libération complète de l’homme.

Ce texte a pour complément le psaume 85 qui emploie une autre image : deux mains qui se rejoignent, l’une venant du ciel et l’autre s’élevant de la terre, pour accomplir l’alliance définitive de Dieu et des hommes dans l’amour et la fidélité (voir Jn 1,17).

Is 45,9

Le prophète regarde les puissants d’hier, maintenant vaincus par Cyrus. Les Egyptiens et les Ethiopiens vaincus reviennent enchaînés en Palestine par la même route qu’ils avaient empruntée avec tant d’orgueil. En passant près de Jérusalem, ils la voient dans sa gloire et comblée par Dieu et, tombant à genoux face à Jérusalem, ils demandent à Dieu de les sauver aussi.

La libération d’Israël est pour Dieu le moyen de se révéler au monde : on reconnaîtra Yahvé à la manière dont il rétablit un peuple mort. On viendra adorer le Seigneur de l’univers “caché” parmi un peuple dépourvu d’apparence.

On observe la même chose dans l’Eglise là où elle est méprisée. Un jour, ceux qui s’en moquaient y découvriront Dieu. Un jour, on saura que l’Eglise a entretenu dans le monde le feu de Dieu.

Is 45,14

Le prophète voit la chute de Babylone. Il imagine les Chaldéens qui s’enfuient en emportant leurs idoles. Israël, en revanche, n’a pas besoin d’emporter ses dieux : c’est Yahvé qui porte son peuple (46,1-7). Dieu donne la vie à son peuple tandis que ceux qui ne croient pas gaspillent toute leur énergie à porter des idoles.

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